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Der Freier zu Freundstein (le soupirant de Freundstein)
Ill. J. Klein et R. A. Schüler. In Zwölf Stahlstiche zum Elsaessischen Sagenbuch von A. Stöber, Strassburg : G.L. Schuler, 1842. - Voir notice originale BNUS
Le comte de Geroldseck tomba sous le charme de Mademoiselle von Freundstein qui, malheureusement pour lui, ne répondit pas à ses avances. Après avoir vainement demandé sa main au père de la jeune fille, il se résolut à prendre de force ce que l'on ne lui accordait pas de gré. Il mena donc une forte troupe à l'assaut de Freundstein qui prit de surprise la garnison. Le père préféra échapper dans la mort plutôt que de supporter le déshonneur. Il prit sa fille en croupe de son palefroi et se jeta du haut des muraiilles dans le fond de la vallée. Le comte de Geroldseck, cause de ce drame, ne put rien empêcher.
On raconte que, pendant les nuits sans lune, on peut entendre le galop fou de chevaux fantômes.