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Le cordier (Der Seiler)
Jean-Frédéric Wentzel - Voir notice originale BNUS
Les gerbes de chanvre (der Hanf) ou de lin (der Flachs) sont conservées au sec dans une grange. Les fibres sont nettoyées et peignées, puis torsadées et tressées en ficelles (der Strick(-e)) ou en cordes (die Seile(-n)) de diverses grosseurs. Elles sont ensuite enroulées sur des bobines.
On travaille auprès d'un canal où le chanvre fauché a été mis à rouir. L’atelie reste en plein air car on a besoin d'espace pour tendre les cordes. On voit sur la gravure les murs d'une ville : la tour pourrait être le Wissthurm de Strasbourg ou une autre porte détruite par le bombardement en 1870.