Retour à Le XIXe siècle
Population ouvrière, population flottante
Koechlin (ADHR, 3 X 43, p. 4)
Ce dernier texte, du médecin Koechlin, parle de la difficulté du bureau de Bienfaisance de venir au secours des personnes qui sont réellement dans le besoin.
Il mentionne le va-et-vient incessant des ouvriers les plus pauvres, qui ne vivent jamais longtemps au même endroit. Ce texte fait ainsi allusion aux flux migratoires qui convergent vers Mulhouse, en provenance de Suisse, d’Allemagne et des départements français les plus proches. Les affirmations de Koechlin sont confirmées par de nombreuses autres sources.