1941
: la Shoah et l’opération Barberousse
Comment s’inscrit l’extermination des juifs d’Europe
dans l’histoire du nazisme ? Quel rapport existe-t-il entre l’invasion
de l’URSS et la mise en place de la solution finale ? Quelle est
la chronologie des différents modes d’extermination ?
Paris : CNDP, 2001.- 13 min + livret. - Cote
: V940.53 HIS
1945 : la découverte des camps
Ce document relate comment s’est faite la découverte des
camps de concentration : par les soldats alliés à partir
de 1944 ; par la presse française après la Libération
où les première mentions datent de septembre 1944 mais
c’est en avril 1945 qu’ils font la une de la presse ; et
à travers l’image : peu de photos clandestines ou de photos
prises par les nazis mais surtout des clichés pris lors de la
libération des camps mais qui ne reflètent pas toute l’ampleur
de la catastrophe.
p.8-13.- Mémoire vivante (Fondation pour
la Mémoire de la déportation), 43.- 10/2004
Auschwitz nous parle d’aujourd’hui
Le directeur de la Fondation Auschwitz évoque la formation des
enseignants, jugée incomplète, relativement à la
problématique de la Shoah et du génocide contre les Juifs
; les enjeux et les objectifs de son usage pédagogique.
Thanassekos, Yannis.- p.22-25.- Cahiers pédagogiques,
379.- 12/1999
Auschwitz : une mémoire singulière
Analyse du débat sur la place que doit occuper le génocide
des Juifs (Holocauste) dans la mémoire collective, sur sa singularité,
les dérives dogmatiques qu’il peut |
|
engendrer
et ses origines culturelles et historiques dans l’Europedu 19ème
siècle.
Traverso, Enzo.- p.84-86.- Sciences humaines.
Hors-série, 036.- 03/2002
Camp de concentration, et exterminations : que
savaiton avant 1945 ?
Ce dossier fait le point sur l’état des connaissances concernant
les camps depuis le milieu des années 30. Depuis 1933, des informations
sont diffusées sur la réalité concentrationnaire,
l’antisémitisme est ouvertement propagé suite à
la promulgation des lois de Nuremberg en 1935. Entre 1940 et 1944 en
France, des informations sur ce sujet sont publiées dans la presse
clandestine.
p.2-7.- Mémoire vivante (Fondation pour
la Mémoire de la déportation), 43.- 10/2004
Les camps de concentration dans l’économie
nazie
À l’origine, les camps devaient fournir une main d’oeuvre
abondante et bon marché pour les grands travaux du Reich, mais
les normes de destruction l’ont toujours emporté sur celles
de la productivité. Deux témoignages de déportés.
Mémoire vivante (Fondation pour la Mémoire
de la déportation), 30.- 05/2001
Déportation : production littéraire
et artistique
Après un rappel historique et chronologique de la déportation,
les auteurs font le point sur la création littéraire et
artistique par les détenus. C’était une activité
interdite, mais certains déportés ont passé outre
pour témoigner de ce qu’ils vivaient ou pour rester des
hommes. Il y eut l’exception du camp de Terzin, qui recevait beaucoup
d’artistes et d’intellectuels juifs ; on y donnait des |