Albane Joerger, lors des répétitions, avec à ses pieds le conducteur.
Photo : F. Hauwelle | AgrandirUn des objectifs de notre séjour à Landersen était de mettre bout à bout les différentes séquences de la scène I sous la conduite d’Annie Tasset, metteur en scène, et sous l’œil vigilant de Gérard Garcin le compositeur.
Disponible à ce moment, j’en ai profité pour noter les actions et le plus grand nombre d’indications au fur et à mesure du déroulement. Gérard Garcin m’a suggéré de formaliser ces traces pour en faire un "conducteur", afin de visualiser l’ensemble de la scène I de l’opéra, et de préparer les enfants à l’événement scénique. Le conducteur a ensuite été complété et validé par l’équipe.
Pourquoi un conducteur ?
Cet outil nous a semblé très vite indispensable, en particulier lors de la période de répétition sur scène, avant la première représentation destinée aux enfants des écoles.
Extrait du conducteur.
Photo : G. Guérin | AgrandirIl a permis aux enseignantes, en classe, de guider les enfants afin qu’ils intègrent bien le déroulement de la scène : quand je me prépare, quand je dois être prêt, quel est le repère pour entrer sur scène, ou dois-je me placer, comment dois-je me déplacer, etc. Ce travail de mémorisation en amont a contribué à rendre les enfants plus rapidement autonomes.
Le conducteur a également servi l’équipe d’encadrement pour accompagner les enfants tour à tour acteurs, instrumentistes, chanteurs, danseurs.
Sabine Bannwarth
Conseillère pédagogique Éducation physique et sportive
Circonscription de Guebwiller
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